lundi 12 mars 2012

Home sweet home (1)

Traditionnellement, à chaque nouvel enfant, nous avons déménagé.
Dans un appartement pour la grande Lilie, dans une grange rénovée  pour la petite Lilie (d'où le nom l'atelier de la Grange). Mais comme depuis la petite Lilie, nous avons déjà déménagé 2 autres fois. Nous avons décidé, avec le Papa, que cette fois-ci, il n'était pas nécessaire de refaire les cartons pour l'arrivée du petit gars! La vieille dame que nous habitons actuellement peut  accueillir avec largesse et bienveillance notre nouveau petit bout.
Il a tout de même fallu procéder à quelques aménagement, tout d'abord transformer mon atelier de couture en chambre pour petit gars. La transformation étant en cours de réalisation, vous verrez quelques photos en fin de semaine peut-être. Et surtout réaménager mon atelier. Mais où?

Nous avions le choix entre une partie de la lingerie, où règnent toujours en sus de tous nos vêtements, passés,présent, voire futur pour les minettes et le bébé, étendoirs, planches à repasser...Bref, cela n'était pas judicieux. Mon choix s'est donc porté sur une partie de la salle de jeux des filles, partie que j'ai dû âprement négocier avec la grande Lilie...La petite Lilie était ravie: "Chouette, je n'aurai plus à déménager mes playmobils pour être avec toi, lorsque tu feras de la couture". Et voici, l'aménagement en images:
Mes tissus, triés ou presque par tonalité, les livres de patrons, et surtout au premier niveau une partie de ma collection de boutons!
Dans le recoin:mon foutoir avec notamment, les tissus peu utilisés, mes laines dans le bidon en fer blanc, dans les boîtes en carton, ...

Le pari était de caser dans ma partie âprement négociée toutes mes boîtes, cartons, ...Pari réussi puisque je n'ai même pas eu besoin d'investir le grenier (derrière la coiffeuse et le fauteuil en osier).
L'endroit est plutôt lumineux, la division entre mon espace couture et celui de jeux des filles est bien délimité grâce à la poutre. C'est donc un endroit agréable où j'ai plaisir à confectionner, n'est-ce-pas l'essentiel?

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